Ce phénomène naturel est lié aux variations en eau du terrain : les sols se rétractent lors des périodes de sécheresse et gonflent lors d’épisodes pluvieux. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d’engendrer des dégâts, indemnisables au titre de catastrophe naturelle, principalement sur les habitations existantes construites sur des fondations superficielles.
Afin d’améliorer la connaissance de ce risque, une étude spécifique, commandée par la Direction Départementale des Territoires et de la Mer et Rennes Métropole, a été réalisée par le Bureau de Recherches Géologiques et Minières sur le territoire métropolitain. Une carte (ci-contre) recense ce phénomène sur la commune suivant trois aléas : faible, moyen et fort.
En zone d’aléa moyen et fort, la législation impose la réalisation d’un diagnostic du sol à la vente d’un terrain constructible et la réalisation d’une étude géotechnique au moment de la construction de la maison.
Vous trouverez plus d’informations sur la réglementation et les bonnes pratiques à mettre en œuvre sur le site : www.ecologie.gouv.fr/sols-argileux-secheresse-et-construction
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